Bonjour à vous les Ez'claves o/
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Fin de l'évent
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texte final
Togame fut la première à tenter sa chance.
Avec son assurance habituelle, elle ne s'étonna pas de trouver la clé du premier coup sous un livre d'alchimie, juste à côté du coffre. Elle approcha le coffre avec la confiance tranquille de celle qui se dit : « Trop facile. »
Le déclic fut sec.
Puis, une seconde plus tard… pouf !
Une explosion de paillettes roses jaillit du mécanisme, un nuage étincelant s’écrasant sur son visage avec une précision redoutable.
La salle d’alchimie résonna d’un éternuement étouffé et d’un juron qu’Ezarel aurait probablement qualifié de “musical”.
Quand la poussière retomba, Togame ressemblait à une lanterne de bal d’automne — brillante, rageusement élégante, et pleine de dignité outragée.
Elle contempla le coffre, plissa les yeux.
— « Très bien… » fit-elle d’un ton calme, trop calme.
Puis, sans un mot de plus, elle prit la clé fautive, la glissa dans sa poche, et s’éloigna, couverte d’une traînée rose scintillante derrière elle, direction la douche.
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Sarahloubard arriva peu après, la salle d’alchimie baignait dans une lumière bleuâtre, silencieuse, presque trop tranquille. Elle avança prudemment vers la table où reposait le coffre des bonbons, l’œil brillant d’excitation.
Autour d’elle, les fioles luisaient faiblement, comme si les murs eux-mêmes retenaient leur souffle.
Après un tour de la pièce, elle avait trouvée beaucoup de clés. Beaucoup trop ! Il n'en faut qu'une pourtant. La bonne nouvelle était ces 2 indices attachés chacun à une clé : un double panneton et une simple tige. Il restait plusieurs clé possible, mais le choix était évident : un anneaux couleur de la garde Absynthe ! La garde qu'Ezarel dirige.
Le métal entra dans la serrure avec un clic prometteur.
Elle tourna.
Une seconde.
Puis…
Pschhhhht !
Un jet de peinture verte jaillit du coffre, lui aspergeant la tête.
Un cri, un pas de recul — trop tard.
Les mèches dégoulinaient, les cils ruisselaient, la voilà le visage repeint couleur de la sorcière de l'ouest.
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Shokolys entra à pas mesurés, un air de détermination tranquille au visage. La salle d’alchimie semblait avoir retrouvé son calme après le carnage de peinture et de paillettes.
Le coffre, immobile sur la table, brillait faiblement sous la lueur vacillante d’une bougie.
Shokolys fit un tour de la pièce ; Elle avait beaucoup trop de clés pour une seule serrure.
Heureusement, 2 indices étaient attachés sur 2 clés différentes.
Un double panneton, ça éliminait beaucoup de clé, mais il en restait 6. Quelle était celle qui brillait plus que les autres ? Il y en a une en or ou c'est celle avec un anneaux aux couleurs de l'étincellante ?
“Am stram Gram, ça sera celle-là !”
La clé glissa dans la serrure sans résistance.
Un clic résonna, différent cette fois : plus doux, plus profond.
Le couvercle se souleva lentement dans un grincement feutré, et une lueur dorée s’en échappa, projetant sur les murs des reflets d’ambre et de miel.
À l’intérieur, un véritable trésor : des bonbons de toutes sortes, débordant presque du coffre, parfumant la pièce d’une odeur sucrée et envoûtante.
Sur le tas, une petite carte pliée.
Elle la déplia :
“Toutes mes félicitations. Tu fais partie des rares à avoir compris que la vraie étincelle, ce n’était pas la magie… mais la logique.”
Shokolys esquissa un sourire.
— « Tsss… logique, hein ? Si tu savais que j’ai surtout eu de la chance… » murmura-t-elle, en attrapant une sucette au passage.
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Chatyr entra à son tour dans la salle d'alchimie, elle fit elle aussi son petit tour de collecte. Une quinzaine de clé, c'est beaucoup trop. Heureusement, elle avait aussi trouvé 2 indices, étonnamment les même que Shokolys. (à moins que les clés que Shokolys avaient trouvées ne soient restées en visuel sur la table ^^")
Pour Chartyr, c'est une évidence, c'est la clé étincelante avec un double panneton. C'est avec la chance incroyable de ne pas avoir trouvé la fausse clé qui correspond aussi à cette description, que Chartyr se saisi de la clé avec confiance.
Elle inspira, puis inséra la clé dans la serrure.
Un clic, net, résonna.
Le couvercle s’ouvrit.
Cette fois, la lumière fut plus douce, presque blanche, comme une aube après une nuit trop longue.
Les bonbons ruisselaient de reflets nacrés.
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Symforá entra sans précipitation, la salle d’alchimie semblait l'attendre.
Depuis des heures, la lumière bleutée des fioles oscillait au rythme des bougies qui se consumaient lentement, et le coffre trônait au centre, impassible, comme un sphinx défiant quiconque d’oser encore.
contrairement aux autres gardiennes, elles fit 2 tours de recherches méthodique dans toutes la salle d'alchimie. Elle n’avait rien laissé au hasard.
Trois indices, trois vérités :
tige simple, double panneton, anneau plus brillant.
Elle aligne les clés devant elle, les observe une dernière fois.
Puis son regard se fixe sur une seule.
Elle la saisit, glisse le métal dans la serrure… et tourne.
Un déclic.
Puis un souffle lumineux s’échappe, comme si le coffre lui-même reconnaissait enfin la bonne détentrice.
La pièce s’illumine d’un halo d’or et de bleu mêlé.
Le couvercle se soulève lentement, révélant la montagne de bonbons et les reflets chatoyants.
Symforá resta un instant immobile, un sourire tranquille au coin des lèvres.
Elle n’avait pas besoin de fanfare ni de cris de victoire : la logique parlait d’elle-même.
Puis, en attrapant un caramel doré, elle glissa à mi-voix :
— « Finalement, Ezarel, t’es plus prévisible que tu crois… »
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Épilogue :
Après votre tous de porte à porte de récolte de bonbons, vous décidez d'aller faire un tour à la cantine du QG, histoire de profiter de vos bonbons en buvant une boisson chaude réconfortante.
C'est dans cet atmosphère de fête, que vous reconnaissez une vois familièrement suspecte. Ezarel est là, assit en train de discuter avec les autres chefs de gardes. Les cadavres d'assiettes sur la table vous indiquent qu'il est là depuis le début de la soirée. Et alors qu'il raconte encore une blague pourri à Nevra, vous le voyez jeter un simple coup d'œil en votre direction avant d'esquisser un sourire. Il ne laisse rien transparaitre d'autre. Ses amis ne se doutent de rien, mais vous, vous avez très bien comprit : Ezarel à vu lesquelles d'entre-vous ont réussi ou échoué, et il en rigole intérieurement.
Épilogue de l'épilogue :
Mais, depuis l’autre bout de la salle, Togame s’approchait discrètement.
Un regard à droite, un autre à gauche — personne ne semblait la remarquer.
Elle tenait quelque chose dans sa main : une clé sombre, aux reflets d’obsidienne.
La fameuse clé du silence d’Ezarel.
D’un geste habile, elle la planta dans la part de gâteau du chef alchimiste, ni vue ni connue, avant de reculer avec un sourire satisfait.
Quelques secondes plus tard, Ezarel mordit à pleine dent dans sa part de gâteau.
Un claquement sec.
Une micro-explosion de fumée violette.
Et un cri, bien audible dans toute la cantine :
— « …AÏE ! »
Un silence. Puis un fou rire général.
Même Ezarel, le visage constellé de miettes et de magie, finit par sourire, à moitié résigné, à moitié fier.
— « Très bien, très bien… je suppose que je l’ai mérité. »
Solution :
Comme vous l'aurez comprit, il y avait un piège : il n'y avait pas qu'une seule clé, il ne fallait pas seulement chercher, mais aussi résoudre l'énigme pour savoir quel était la bonne clé.
Il y avait 20 clés et 3 indices, un indice par page.
les indices :
la bonne clé à une simple tige.
La bonne clé à un double panneton.
La bonne clé brille un peu plus que les autres. => il fallait comprendre qu'elle a un anneaux de la garde étincelante. (parce que Absynthe, c'était beaucoup trop évident).
En conséquence de quoi, la bonne clé était :
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J'espère que l'évent vous a plus. Qu'est-ce que vous en avez penser ?
Je laisse les clés pour l'instant si des retardataires veuillent jouer.
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Ezous o/ ♥
Dernière modification par Subraya (Le 01-11-2025 à 14h48)
